Une grossesse sur cinq se termine par une fausse couche en France, et l’on considère que cela concerne près de 200 000 femmes par an. Bien que ce soit le premier motif de consultation aux urgences gynécologiques, le corps médical demeure pourtant peu formé à sa prise en charge psychologique. Souvent tues, peu documentées, elles laissent les femmes dans une grande solitude.